Ohw! Tu m'as fais mal, eh! { Elena S. Black

Les cours allaient bientôt commencer. Tranquille, j'étais posé sur les casiers. Ou plutôt, j'étais affalé dessus, entrain de discuter avec quelques amis des compétitions de surf. Je vis une jeune fille tombée à mes pieds, essaya de rassembler ses affaires qui avaient glissées de son sac. Je me baissa pour l'aider à tout ramasser, me releva, et l'aida à se lever elle aussi. Je lui adressa mon plus grand sourire, et la vis partir. Étant en plein milieu du couloir, je ne vis pas l'autre blondinette arriver vers moi et me bousculer. Elle me salua en extra-vitesse, et partie précipitamment. N'aimant pas ce genre de comportement, je la suivis. Une fois à sa hauteur, je la stoppa et lui demanda d'un air interrogateur :

Eh, pourquoi tu es partie sans rien dire, je peux savoir?!

Cela faisait un mois exactement qu'Elena et Taylor avaient rompu. Leur idylle n'avait pas duré assez longtemps pour être qualifiée comme telle, mais ça n'a pas d'importance. Deux semaines de complicité qu'Elena avait du mal à oublier. Elle s'était rapprochée du jeune homme dans tous les sens du terme, même si aucun sentiment ne s'était profilé à l'horizon. Néanmoins, elle avait pensé qu'après cette petite aventure, ils resteraient proches tous les deux, alors qu'en réalité, ils ne se voyaient presque plus. En quelques sortes, Taylor lui manquait, non pas parce qu'elle était célibataire, mais parce qu'elle le considérait comme un ami, un de ses premiers au sein de l'université. Elle pouvait comprendre qu'il ait des difficultés à se confier à elle, surtout en ce qui concernait Vanessa, la femme qu'il aimait. Ceci, Elena l'avait appris peu après le début de leur relation, il suffisait de l'observer en train de la regarder, l'amour se lisait dans ses yeux. Mais la jeune femme n'avait pas pour autant considéré la Zeta comme une rivale, elle était avant tout une grande amie de son colocataire Dylan, absent depuis quelques temps lui aussi. En fait, lorsqu'on y regarde de plus près, la vie amoureuse d'Elena est un vrai désert depuis sa rupture, mais ses relations amicales ne valaient pas franchement mieux.

D'ailleurs, depuis quelques temps, elle évitait un de ses amis en particulier. Bradin Stramer, un étudiant en médecine, blond, beau et qu'elle appréciait depuis le premier jour. Enfin, c'était un pur mensonge de dire qu'elle le considérait que comme un simple ami. Et c'était bien cela qui l'effrayait. Elena n'était pas prête à être amoureuse, pas maintenant et surtout pas d'un de ses amis. Pourtant certains diraient que c'est préférable d'être d'abord ami avec une personne avant de sortir avec elle, afin de la connaître au mieux. Mais qu'en est-il de cette amitié si la relation amoureuse est un véritable fiasco ? Si seulement cette hypothèse était la seule chose qui effrayait la jeune femme... En réalité, elle ne voulait pas être amoureuse, de peur de revivre le désastre de son adolescence. Voilà pourquoi elle tentait de ne pas croiser le jeune homme durant les cours, elle se voyait mal faire comme si de rien n'était avec lui, alors que son cœur battait trop vite et qu'elle ressentait des sensations étranges dans le ventre.

En se levant ce matin là, la blondinette s'était surprise à ne pas penser à lui, ce qui était très rare. Lorsqu'elle entra dans l'établissement principal pour rejoindre son premier cours du matin, elle fut distraite par son portable qui s'était mis à vibrer dans son sac. Elle tentait de le récupérer et détourna un instant le regard de sa trajectoire, au point de ne pas voir qu'elle allait bousculer une personne. Le sort ayant décidément décidé de s'acharner sur elle, il fallait qu'elle le bouscule, lui. Un lèger "pardon" et un petit sourire furent tout ce qu'elle réussit à faire, avant de tourner les talons pour rejoindre un couloir parallèle. Sa mâchoire se crispa nerveusement lorsque Bradin l'arrêta pour lui demander des comptes. Elena savait que cela arriverait tôt ou tard, surtout qu'elle n'avait pas encore réfléchi à ce qu'elle pouvait bien lui dire. Baissant les yeux pour ne pas croiser son regard ensorcelant, elle soupira plus bruyamment qu'elle l'aurait voulu.

"Je suis en retard à mon cours Brad', j'ai pas le temps de te parler..."

Comme si il allait marcher. Il la connaissait assez bien maintenant pour savoir qu'il y avait autre chose. Mais Elena gardait néanmoins un espoir qu'il lui laisse encore un peu de temps pour trouver les mots justes, et mettre au clair ses sentiments.

Elena déclara qu'elle était en retard à son cours et que, par conséquent, elle n'avait pas le temps de me parler. Étant donné qu'elle n'osait pas me regarder dans les yeux, je ne pouvais la croire. Je lui pris alors le visage dans mes mains, leva son menton, et la regarda dans le fond des yeux :

Ne me ment pas, Elena. Pourquoi est-ce que tu me fuis?! Pas la peine de mentir, je te connais..

Je n'aimais pas que l'on me mente. Surtout quand il s'agissait d'une de mes amies à laquelle je tenais vraiment. Je voyais que quelque chose n'allait pas, et ça me blessait qu'elle refuse de me le dire. Malgré tout, je me doutais qu'elle ne voulait pas m'en parler, sinon, ça serait déjà fais. J'eus alors une horrible pensée : avais-je fais quelque chose de mal?! Si oui, qu'était-ce?! Pour en avoir le cœur net, je décida de lui demander nettement :

C'est moi?! J'ai fais quelque chose de mal?! Je t'en pris, répond moi El'..

Comme elle s'en était doutée, Bradin ne crut pas une seule seconde à son mensonge. En même temps, elle n'avait pas vraiment fait d'efforts pour qu'il en soit autrement. La première chose que ses proches remarquaient chez elle, c'était sa grande franchise, or elle regardait les personnes avec qui elle avait un moment d'honnêteté pure et simple. Baisser les yeux pour éviter ceux de son ami n'avait pas été un bon plan, néanmoins elle savait que si elle s'était perdue dans ses prunelles, elle aurait craché le morceau sous la pression. Ce qui n'était absolument pas à l'ordre du jour. Ses pensées, auparavant claires et ordonnées, se mélangèrent lorsqu'il posa ses mains sur son visage pour la forcer à le regarder. Ce simple geste décrispa instantanément la mâchoire de la jeune femme, mais entraîna un soubresaut de son cœur lorsqu'enfin leurs yeux se rencontrèrent. Pourquoi était-elle si sensible à ce regard tout à coup ? Elle devrait y être habituée pourtant depuis le temps qu'elle le connaissait à présent. Son corps ne semblait plus vouloir lui obéir, sa gorge devint d'un coup très sèche et elle avait le ventre qui se crispa peu après. Se mouillant les lèvres nerveusement, Elena ne sut que répondre à sa question, la question fatidique à laquelle elle n'avait pas encore trouver de réponses.

"Je... je ne te fuis pas..."

Ridicule, elle était en train de lui mentir et pire encore se mentir à elle-même. Elle souhaitait seulement l'épargner et régler cette affaire seule, comme elle l'avait toujours fait. Qu'il veuille savoir ce qu'elle avait prouvait qu'il était un bon ami, mais était-ce encore ce qu'elle voulait de lui ? Trop de questions s'accumulaient dans sa tête, et le fait que Brad en rajoute n'arrangeait absolument rien. Surprise par sa conclusion face à son mutisme, elle le dévisagea puis reprit de l'assurance. Ses mains rejoignirent les siennes pour qu'il lui libère le menton, elle n'avait plus besoin de son aide pour le regarder dans les yeux.

"Quoi ?! Mais non ! Tu n'as rien fait de mal Brad ! C'est juste que..."

Prenant une nouvelle inspiration, Elena garda un instant le silence pour chercher les mots justes. Elle n'avait toujours pas l'intention de lui avouer la vérité, mais le rassurer sur son innocence de son état en était presque ironique. Bien sûr que c'était de sa faute si elle le fuyait, mais ça elle ne pouvait le lui balancer comme ça, sans explications au préalable.

"J'ai des soucis... j'aimerais juste ne pas mêler les personnes auxquelles je tiens à cette histoire, toi y compris. Okay ?"

Si elle l'avait convaincu ce serait un miracle, car elle, elle n'était pas du tout convaincue.

Elena m'expliqua qu'elle ne me fuyait pas, puis dégagea son visage de mes mains. Elle me dit ensuite, après un moment d'hésitation et sous la pression de mon regard interrogateur - du moins, j'imagine - que je n'avais rien fait de mal, ce que me rassura, et que c'est parce qu'elle avait des soucis et qu'elle ne voulait pas mêler les personnes auxquelles elle tient à cette histoire, moi y compris, qu'elle partait quand elle me voyait.
On ne se connaissait que depuis peu, il est vrai, mais j'étais déjà beaucoup attaché à elle, et savoir qu'elle avait des problèmes m'étais insupportable. Eh oui ma jolie, tu aurais mieux fait de ne pas me raconter ça.. Je voulais à tout pris savoir ce qu'elle cachait, quelle était cette fameuse histoire qui était entrain de creuser un gouffre entre elle et moi. Étant de nature obstinée et têtue, je n'allais pas renoncer de si tôt. En tant qu'ami, mon devoir était de l'aider, qu'elle le veuille ou non. Je lui déclara alors :

Tu n'as pas le choix, Elena. Dis le moi, s'il te plait. Je veux savoir ce qui nous séparent.

Je n'aimais vraiment pas voir les personnes que j'aimais être malheureuse. Pour moi, c'était pire que la peine de mort, c'est pour vous dire. Avec Elena, c'était encore plus fort. Pour elle, j'avais l'impression de ressentir un peu plus que de l'amitié, même si je ne lui en avais jamais parlé. Cette fille était mystérieuse, c'est ce qui m'avait tout de suite plut chez elle. Et j'avais peur de mes sentiments. C'est vrai, c'était sûrement étrange d'entre un homme - fin', jeune homme - parler de ses sentiments comme tel, mais bon. A cet instant précis, j'avais envie de la prendre dans mes bras, et de ne plus la lâcher. Mais j'étais pétrifié, je n'arrivais pas à bouger. Je restais là, bloqué par mes jambes aussi lourdes qu'un bloc de béton, mes yeux plongés dans les siens. A ce qu'il parait, ils étaient une porte vers l'âme. Dans mon cas, je ne pouvais pas vraiment dire ça.. Une chose était sûre, je refusais de la perdre comme j'avais perdu tant de personnes qui m'étaient chères. Enfin bon, chez moi, c'était inné ce genre de situation.. Être dans les couloirs en compagnie d'une amie qui me cachait des choses au lieu d'être en cours, c'était une véritable sensation de déjà vu assez horrible.. Je n'aimais pas vraiment ça. Enfin, qui aimerais?!
Toujours mes yeux plongés dans les siens, j'attendais sa réponse.

*Je t'aime voilà ce qu'il y a !* Les pensées d'Elena ne pouvaient être plus claires en cet instant. Même si elle s'efforçait de faire comme si ce n'était qu'une façade, les sentiments qu'elle éprouvait pour son ami étaient loin d'être anodins. Pendant tant d'années elle avait fait en sorte de ne jamais concilier amour et amitié, pour être certaine qu'une telle situation ne se produise pas. Qu'avait-elle fait de travers cette fois-ci, qui la fit tomber amoureuse aussi rapidement et aussi soudainement ? Peut-être devait-elle lui dire ce qui la tracassait, ce qu'elle ressentait mais qu'elles en seraient les conséquences ? Leur relation ne serait jamais plus comme avant si elle lui confiait son secret, même si elle réussirait à faire avec, Bradin ne pourrait plus la voir comme une amie innocente qui n'a pas l'espoir d'un jour voir leur lien évolué. C'était ce qui l'effrayait le plus, outre le fait de souffrir encore une fois bien sûr. D'une voix mal assurée, Elena ferma les yeux un moment et murmura :

"S'il te plaît Bradin... ne me force pas à tout te dire. "

Il était légitime qu'il veuille connaître les raisons de son comportement bizarre, mais la jeune femme était résolue à ne rien lui révéler sauf s'il la poussait à bout. Ce qui ne risquait pas d'arriver avant longtemps, puisqu'elle était plutôt du genre patiente. Ses yeux revinrent se plonger dans les siens, mais au lieu d'afficher cette expression joviale qui la caractérisait, ses prunelles renvoyaient de la tristesse et de la confusion. Voulant mettre un terme à cette discussion, Elena tenta une nouvelle fois de le résonner en lui rappelant :

"Les cours ont commencé depuis 5 minutes. Je ne sais pas toi, mais moi je déteste être en retard..."

C'était la pure vérité, même si elle doutait qu'il allait la laisser filer sans au moins lui demander de lui reparler plus tard. Si elle obtenait un sursis, ce serait déjà ça de pris non ?

Elena ne voulait vraiment pas me parler, ce qui me désola franchement. Je voulais savoir ce qui clochait entre nous, et pour cela, j'étais prêt à tout. Je ne comptais pas abandonner, même si elle me suppliait pour cela. Si c'est ce qu'elle croyait, elle me connaissait alors très mal. J'étais un jeune homme têtu et quand j'avais une idée en tête, on ne pouvais me l'enlever. Elle ne voulait pas que je la force à tout me raconter. Mais me raconter quoi?! Qu'avait-elle fait?! En me demandant de ne pas la forcer, elle avait baissé les yeux.. Serait-ce qu'elle chose sur moi?! Que s'était-il passé?! Soudain, mon cœur ne fit qu'un bond : est-ce qu'elle partageait mes sentiments envers elle?!
Je chassa cette idée de ma tête. C'était impossible. Pourquoi une fille aussi jolie et intelligente qu'elle serait amoureuse de moi, hein?! Je me le demande.
Elle changea alors de sujet, et déclara que les cours avaient commencé depuis cinq minutes et qu'elle n'aimait pas être en retard. Je trouvais cette excuse un peu bête.. Mais bon, je n'en dis rien et répondis simplement :

Je me fiche des cours, je t'en prie Elena, dis moi tout..

Sachant que mon amie était patiente, je ne pouvais pas attendre là, dans le couloir, qu'elle s'incline et qu'elle me raconte tout. J'eus donc une idée qui me paraissait pas mal. Je déclara alors :

J'espère que tu n'as rien de prévu ce soir, parce que tu devra annuler. Je t'attend à mon appartement après les cours. Je compte bien savoir ce qu'il y a, crois moi. Tu n'as pas le droit de me dire non..

Je passa ma main dans ses cheveux, et déposa un baisé au coin de ses lèvres. Je la regarda fixement, et lui murmura : « peut importe ce qui se passe, ça va s'arranger, j'en suis sûr ». Avec un petit sourire tendre, je me retourna et marcha en direction de ma salle de cours, tout en espérant qu'elle me stopperait pour me dire qu'effectivement, elle m'aime.

Les cours étaient un prétexte idéal pour interrompre une conversation, surtout lorsque celle-ci était gênante. Même si elle n'arriverait plus à se concentrer suffisamment, elle pourrait au moins avoir quelques heures de plus afin de chercher une solution à son problème. Compliquée vous dites ? Elena l'a toujours été. Pourquoi faire simple et avouer ses sentiments alors que l'on peut se faire du mal à se mentant à soi-même ? Comme elle s'y était attendue, Bradin ne recula pas face à l'heure tardive, il voulait avoir une réponse claire et était sans doute prêt à attendre longtemps pour l'avoir. Néanmoins, il n'était pas le seul têtu des deux. La jeune femme l'était tout autant voire même d'avantage. Contrainte à oublier d'arriver juste un peu en retard à son cours, elle soupira une nouvelle fois. La colère était absente cependant, ce qui l'étonna elle-même. Elle avait beau être patiente, elle pouvait aussi s'énerver très vite quand rien n'allait dans son sens. Et c'était un peu ce qu'il se passait en ce moment. Alors qu'elle s'était jurée de penser à ses études avant d'envisager de tirer un trait sur le passé, voilà qu'elle se retrouvait amoureuse, d'un ami de surcroît, alors que l'année avait à peine débuter. Elle faisait fort il fallait le dire.

"Je n'ai pas envie d'en parler dans un couloir Brad, tu peux comprendre ça non ? Ca ne regarde personne que moi."

D'apparence, ces mots pourraient sembler durs, mais elle les avait dit d'une façon calme et presque tendre. Son but n'était pas de blesser son ami, mais de l'éloigner, il y avait une nuance. Ce qui suivit la désarçonna totalement. Tout d'abord son invitation obligatoire à le rejoindre dans sa chambre étudiante après les cours, puis sa façon de poser ses mains dans ses cheveux et enfin le baiser qu'il lui avait donné au coin des lèvres. Chose qu'il n'avait jamais fait. Il s'était toujours limité à un bisou sur la joue ou sur le front, comme tout ami ferait, mais jamais aussi près de sa bouche. Elena ignorait quelle expression affichait son visage, mais une chose était certaine, elle n'était pas du tout capable de répondre ni même de réagir. Lorsqu'enfin elle reprit peu à peu possession de ses esprits et de ses membres, Bradin était déjà rentré dans sa salle de cours. Et elle traînait toujours encore dans les couloirs, allez chercher la logique à tout ça ! Pour ne pas se faire repérer, elle se rendit aux toilettes des dames, tout proche de là où elle se trouvait. Elle se passa de l'eau sur le visage pour s'obliger à réagir puis revit plusieurs fois la même scène dans sa tête.

"Putain Brad, tu ne me facilites pas la tâche du tout tu sais !"

Parler toute seule n'était pas dans ses habitudes, pourtant à cet instant, elle avait besoin de dire quelque chose. Même si elle ne s'adressait qu'à son reflet. Pourquoi ce baiser ? Pourquoi ce regard ? Avait-il compris ce qu'elle tentait à tout prix de cacher ? Et ce rendez-vous à la fin de la journée, dans sa chambre en plus ! Comment allait-elle gérer cela ? La tête lui tourna face à toutes ces questions. Ce qui était certain, c'était qu'elle était incapable de se rendre en cours, plus maintenant. En tout cas pas la première heure. Elle avait besoin de temps pour s'en remettre, se calmer et calmer les battements de son coeur.

Elle se rendrait chez lui comme il le lui avait demandé. Elle tenterait de lui dire toute la vérité, même si cela allait entraîner la fin de leur amitié. Elle se devait de faire ça pour lui, mais surtout pour elle. Se libérer de ce poids l'aiderait surement à s'en sortir. Encore fallait-elle qu'elle trouve quoi lui dire et comment. Mais bon, elle avait une journée complète pour y réfléchir, ses cours avaient été subitement relégués à la deuxième place des choses importantes. Comme quoi, tout arrive.

Sujet terminé?! =]
Personnellement, j'ai rien à rajouter.
Si ça te dis, je commence le topic chez moi et te l'envoie =]

Oui je pense qu'on peut s'arrêter là = D Je t'en prie si ça te dérange pas Wink

SUJET TERMINE

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