Faith A. Stetson [ Done ]

●●Faith Aileen Stetson ●●

You need to know about me

En une vingtaine de lignes ,sous la forme que vous souhaitez (dialogue, journal intime....), racontez nous la vie de votre personnage, en précisant comment il est arrivé dans cet université, et sans oubliez son secret et comment il se sent par rapport à cela..

Faith: Behind blue eyes


Nous sommes le 15 juin 1990, je viens de pousser mon premier cri dans une maternité en plein centre de Chicago. Mon père, James Stetson, patron d’une grande entreprise gagnant vraiment bien sa vie et ma mère, Catherine Stetson, femme au foyer, étaient très heureux de ma naissance tant attendue. J’étai leur premier enfant, place assez privilégiée, j’avais tout ce que je désirais et je n’est jamais manqué de quoi que ce soit. J’était la petite chouchoute de toute ma famille, c’est d’ailleurs de là que me vient mon surnom de « chou’ », ils étaient tous sous le charme de mes magnifiques yeux bleus et j’étais plus que gâtée par mes grands parents qui auraient donné n’importe quoi pour que je sois heureuse. Je passa les premières années de ma vie à la maison, passant mes journées avec ma très chère mère.
A l’âge de trois ans je rentra à l’école maternelle la plus prestigieuse de Chicago, mes parents avaient toujours voulu que je fréquentes les meilleures écoles afin que je puisse avoir le meilleur avenir possible. Pour être honnête, je me fichais bien d’être dans l’école la plus prestigieuse, ce qui comptait le plus pour moi c’était toutes les nouvelles choses que je pouvais apprendre là bas et aussi toute les nouvelle rencontres. C’est à cette époque que j’ai rencontré ma plus vieille amie, Lara, après toutes ces années nous sommes toujours aussi proches elle est moi, une amitié qui dure et qui n’est pas prête de s’arrêter, enfin je l’espère. Nous sommes maintenant dans deux universités différentes et de ce fait, nous nous voyons beaucoup moins à présent, ce qui m’attriste assez, mais il faut aller de l’avant et faire de nouvelles rencontres et avancer dans la vie.
Quand j’avais dix ans, ma mère à accouché d’une autre petite fille, un petit bébé tout mignon qui était venu rejoindre et agrandir notre famille un certain soir de décembre 1999, un des plus beau jour de ma vie. Dès que j’ai vu cette toute petite fille, je l’est tout de suite aimée. Mes parents l’appelèrent Lily et j’ai toujours sus que je devais la protéger de tout ce qui était mauvais pour elle. Depuis le jour de sa naissance elle est devenue pour moi la personne la plus importante au monde et je pourrai donner ma vie pour elle. Au début j’ai eu un peu de mal à accepter de ne plus être la petite préférée et le centre de la terre mais je m’y suis fais et tout l’amour que l’on ma donné quand j’étais toute petite je le donne à présent à ma sœur.
L’heure d’entrer au collège a enfin sonné, grand changement dans ma vie, nouvelle école, nouveau professeurs et aussi nouveaux amis. Un nouveau monde s’offrait de nouveau à moi et je ne perdis pas de temps avant de découvrir tous ce qu’il y avait à découvrir. Je commença à être beaucoup moins assidue en cours ce qui me value de nombreux reproches de la part de mes parents et de mes professeur, même si pourtant j’avais toujours de bonne notes. Un bon arguments pour les faire tous taire.
Premier petit copain, premier amour, premier chagrin, ça ne durait pas vraiment depuis longtemps mais je m’étais attachée à lui, à croire qu’il m’aimait moins que ce que je ne l’aimais, j’eus beaucoup de mal à m’en remettre et j’étais inconsolable. Je l’est longuement haït pour finalement le compter à présent parmi mes amis les plus proches. Ce qui est un peu un réconfort dans un sens, je ne l’aurai peut être plus comme petit ami mais au moins je sais qu’il est un ami fidèle et que je peux compter sur lui sans problèmes, chose de plus en plus rare de nos jours. Pendant ma crise d’adolescence j’ai un peu délaissé ma famille pour passer mon temps à trainer dehors avec ma bande d’amis, à fumer, boire, faire la fête, enfin des trucs de jeunes quoi, et aussi de belles conneries que je regretterai toujours. Mais c’était sans doutes les plus belles années de ma vie, aucune prise de tête aucun gros problème, le rêve en gros.
Entrée au lycée avait rimé pour moi avec début des galères et descente aux enfers. Partie de ma vie très noire dont peu de gens connaisse l’histoire dans ses moindres détails, à la fois parce que j’ai toujours eus honte d’en parler et que j’avais surtout peur de la réaction de mes parents. Je pensais pourtant que cette première année de lycée allait être une année comme les autres, comme mes années de collège, mais je me trompais vraiment. Je n’aurais jamais imaginé qu’au lycée on était aussi libre, on sortais quand on voulait entre deux cours, pas vraiment de règles strict, un règlement plus basé sur la confiance que sur l’autorité. Je sortais donc fréquemment entre chaque cours, au début on sort juste pour fumer une petite cigarette puis très vite on passe aux joins et sans même s’en rendre compte on commence à taper dans les drogues dures. Je n’est jamais manqué les cours à cause de ça, ça aurais trop alerté mes parents, je sortais donc la nuit en cachette rentrant tard, je ne dormais que très peu et toutes les excuses que je trouvais pour dire à mes parents que je dormais mal ce qui expliqué ma tête de déterrée presque tous les matins, ils les croyaient sans aucuns problème. Ils n’ont jamais rien remarqué et il ne le savent toujours pas maintenant. Je me drogue beaucoup moins qu’avant mais je n’est pas arrêté, en fait je n’est pas réussi à arrêter plutôt et j’ai même beaucoup de mal à m’en passer mais j’essaye quand même, sans résultat, après tout je suis peut être destinée à mourir comme ça qui sait.
J’ai maintenant dix-neuf ans et j’entre pour la première année à l’université, l’université de Vancouver, confrérie Alpha Journalist, pourquoi journalist, je ne le sais pas vraiment en réalité mais j’aime les ragots et surtout j’aime poser tout un tas de questions aux personnes que je rencontre. Et puis journalisme me semblait être une bonne opportunité pour une carrière future donc j’ai tenté ma chance et je me suis retrouvée ici. La fac’ c’est vraiment très impressionnant, avec les fêtes, le nombre d’élève surtout, enfin tout était différent de ce que j’avais connus par le passé, j’étais maintenant bel et bien dans la cours des grands et il était presque impossible de faire demi tour et il ne me restais plus qu'à avancer et aller de l'avant.